vendredi 4 novembre 2011

Les philipin s[un peuple] toujours joyeux

voici l`image d`un peuple toujours joyeux , toujours contents de  ce qu`il est. ces enfants contents de voir un brother black,manifestent leur joie quand celui-ci fait une photo pour eux. je me rends compte que ces gens sont differents de nous contents ou non, il sourit toujours pour montrer que la vie est belle quand on la rend belle et si on veut vivre heureux on le sera autant. meme si tu decois quelqu`un ,il te dit facilement thanck you[merci] et je vois encore dans les boutiques tu peux demander les differents prix des divers sans acheter, a la fin ,le vendeur te dit merci beaucoup.car il est tres content  tu as visite ou tu as vu ses divers.quand nous passons,ils sont contents de nous appeller joys ou negro,certains meme veulent faire des photos avec les negro[noir\],d`autres encore veulent toucher les noirs.car en les touchant ils sont contents.Ceci me fait poser beaucoups de questions ,je me demande comment ils se sentent.ils nous considerent comme des oeuvres d`arts qu`il faut admirer et contempler.Ce qui est encore etonnant et joyant tous ou la plupart croient que nous sommes des riches, dans la mesure ou dans la mentalite de  ces gens quand tu es etranger tu as l`argent.En premier  lieu des qu`on voit un noir, on pense a un americain[ces derniers ont occupe longtemps ici]. Donc,un americain doit avoir de l`argent. les gens sont contents de raconter que j`ai un ami noir[surtout les filles].C`est le debut de mon aventure  misionnaire en dehors de la RD.congo.

Sur les mains,Heritier Kalonda
                                                                                                                                                                  

                                                      

samedi 10 septembre 2011

Projet sur le mai-ndombe

                    Le district de mai-ndombe renferme beaucoups de richesses, et sera parmi les 26 provinces que comptera la Rd. congo.
                   
                 La forêt équatoriale traverse le mai-ndombe, donc il y a du bois exploité ou à exploiter. En ce qui concerne le bois la Sodefor et la Siforco et autres exploitent cette richesse; ce qui revient à dire que mai-ndombe décentralisé pourra assurer son économie avec du bois. Ceci, il faut qu'il y ait un strict cotrôle et une bonne gestion.
                
                 En plus, le mai-ndombe a beaucoup des rivières poissoneuses(ex.lac mai-ndombe,lokoro,lukenie,mulibampei,lolabu,mfimi, etc.)quelle importance sur le plan hydrographique? Il suffit de faire la pêche industrielle, je crois que le congo n'importerait plus les petits poisssons appelés communement mpiodi. Le lac seul renferme plusieurs marques des poissons. Il y a même des poissons qui meurent de la vieillesse au lac.
         
                  Le mai-ndombe a ausssi une immportante nappe de petrôle( à Inongo,Tolo, près de Bokoro etc)Et ceci est vérifiable surtout à nongo , les analyses ont été faites par les americains. Malheureusement depuis tout ce temps ce petrôle reste inexploité, j'ignore le pourquoi.
           
                  Il est important pôur moi de signaler qu'il y a aussi du sable blanc seravant à fabriquer les verres les vitres. Une fois exploité , c'est une richesse négligée partout dans le mai-ndombe, alors que ailleurs c'est rare.
          
                    Ce qui est étonnant, nous savons qu'à l'époque coloniale le lac léopold II, l'actuel district de mai-ndombe avait comme richesse le caouthouc et les fibres de lianes. les chants de caouthouc aujourd'hui abandonés et les lianes mal utilisées; pourquoi ne pas réorgarniser ou recommencer avec cette richesse pour la caisse de l'état.
              
                       ll est plus important encore pour moi de souligner que l'agriculture est l'une des activités les plus pratiquées au mai-ndombe. Surtout que le mai-ndombe est bénéficiaire d'une terre très fertiles. Si on y faisait l'agriculture industrielle, cela produirait des entrées très signifiaatives dans cette future province de mai-ndombe; pourvu qu'on s'y mette. En ce sens , on y produit déjà artisanalement beaucoups de bananes,haricots,de manioc,du riz, le mais,etc. Sans oublier le café produit autrefois par la Nouvelle Coplabo à bokoro, semendua particulièrement beaucoup plus chez les basakatas.
               
                       Pour ce ,il va falloir des routes(qui n'existent presque pas) et des grands bateaux pour la facilitation de l'évacuation de ces produits vers les milieux consommateurs. Les grands centres pouvant jouer un rôle important dans la future province de mai-ndombe sont: Inongo,Nioki,Mushie, BOkoro, Kutu,kiri, Oshwe,Semendua, etc. il suffit de bien relier ces différents centres,l'échange sera facile entre ces centres et avec kinshasa.
             
                        On peut actuellement faire les études supérieures au mai-dombe à l'ISP situéé à Inongo et à (Nioki), ou L'UNIMA(université de mai-ndombe) située à Bokoro;ou encore à l'IST de Bokoro ou à Bosobe.
             
                       Loin de moi la prétention d'avoir mener une refléxion exhaustive, néamoins j'ose croire que cette reflexion peut aider ceux qui croient être les leaders ou les dirigeants de la future province de mai-ndombe une fois decentralisées.En plus, j'oses croire que ce programme exécuté sera courroné du succès.
                 

samedi 9 juillet 2011

L'UNIVERSITE DE MAI-NDOMBE

Reportage/Recteur a.i. de l’UNIMA : L’abbé Bienvenu Bolinga qualifie de scandaleux cancer, la crise socio-économique du Mai-Ndombe


parJean Mel Bolamle 10/05/2011



Aujourd’hui, nous évoquerons l’analyse d’un spécialiste en développement communautaire sur la situation de cette partie de la province de Bandundu. Nos lecteurs se souviendront certainement de notre point de vue personnel consécutif au constat fait pendant ce voyage initié par la haute hiérarchie de ‘’Le Climat Tempéré’’. Il sera question cette fois-ci de l’étude de l’abbé Bienvenu Bolinga, recteur ad intérim de la jeune Université du Mai-Ndombe ‘’UNIMA’’, qui qualifie de ’’ scandaleux cancer’’ la crise socio-économique que connaît actuellement ce district, à l’instar d’autres parties de la République Démocratique du Congo.



Dans cette analyse scientifique, l’abbé-recteur, qui a présenté son étude, en la salle de conférences de l’Université du Mai-Ndombe, à Bokoro, dans le territoire de Kutu, devant une assistance très nombreuse comprenant les étudiants de différentes institutions de l’ESU et notabilités de cette cité, se penche d’abord sur les causes exogènes et endogènes du retard cumulé dans le développement du Mai-Ndombe, jadis un d’importants pourvoyeurs de la caisse de l’Etat colonial, et propose ensuite quelques pistes de solution pour sortir cette contrée de sa léthargie actuelle. Sur le plan extérieur, l’orateur estime que la crise socio-économique de ce district est la conséquence logique des crises économiques internationales à répétition.



‘’Cette crise, qui frappe régulièrement de plein fouet le monde entier, n’a jamais épargné le Mai-Ndombe, qui était un domaine privé de Léopold II, roi des Belges, considéré comme paradis terrestre où coulaient le lait et le miel, pour les uns, et Bethleem africaine ou pays du pain pour les autres’’, soutient le recteur intérimaire de l’‘’UNIMA’’, qui ajoute que la crise socio-économique qui ronge actuellement l’ancien Lac Léopold II est un mal pernicieux qui ressemble à une tumeur maligne caractérisée par la prolifération anarchique des cellules d’un organe ou d’un tissu.



De l’avis de l’abbé Bienvenu Bolinga, si le cancer, dans la biomédecine paraît résistant à toute thérapie, pour le cas de la crise socio-économique du Mai-Ndombe, il semble, cependant, curable s’il est soumis à une thérapie adéquate et efficiente. Evoquant les causes endogènes du retard du Mai-Ndombe, l’orateur l’attribue à l’explosion démographique évaluée à plus de deux millions d’habitants, soit à peu près la population d’un Etat voisin de la RDC, à l’irresponsabilité et l’immobilisme de l’élite intellectuelle, au refus systématique de transformation ou changement de la société, à la peur du risque, au poids de la coutume ou la tradition qui pèse lourdement sur la mentalité des populations locales dont certaines croient encore aux pratiques fétichistes, l’absence de notions de temps, ainsi qu’à de vieilles méthodes d’élevage, pêche et des activités agricoles.



"L’abandon des cultures industrielles telles que le café, le caoutchouc, la fibre textile, etc.… introduites par les colons belges, le délabrement avancé des infrastructures routières , fluviales, aéroportuaires et économiques, sans oublier l’absence totale d’institutions financières et bancaires susceptibles de facilités la circulation de la monnaie, ont contribué aussi à la situation socio-économique catastrophique que connaît pour le moment cette partie de la République", soutient le numéro 1 de l’Université de Mai-Ndombe.



Après avoir regretté qu’en dépit d’énormes ressources naturelles, humaines, ses saisons alternatives très favorables à l’agriculture et l’élevage et une importante hydrographie comprenant un des grands lacs du pays et plusieurs cours d’eau poissonneux, et tout autres opportunités pour se développer, le Mai-Ndombe vive dans une misère indescriptible, l’orateur propose une démarche clinique destinée à définir des options qu’il a appelées préférentielles, à savoir l ’’option fondamentale’’ et l ‘’option praxique’’.



Dans la première option, il préconise la création des groupes d’éveil de conscience ‘’G.E.C.’’, car estime-t-il, l’homme se réalise et se développe par la formation qui va de paire avec l’information. Ces comités dont les membres seront choisis parmi les ‘’éclairés, avertis, leaders d’opinion jouissant d’une grande estime de la population locale, hommes de terrain et opérateurs économiques évoluant dans les milieux concernés, seront chargés d’aider la population à se prendre en charge et réaliser la nécessité impérieuse d’assurer son propre avenir .



La prise de conscience, selon le conférencier, consistera à révolutionner les mentalités des populations locales, les aider à orienter leurs méthodes de travail, améliorer leurs performances et accepter le sacrifice. Les G.E.C. travailleront aussi à l’information suffisante des autochtones sur leur responsabilité vis-à-vis à leur propre devenir et celui de la société dans laquelle ils vivent.



Cette prise de conscience, qui constitue une opération de sensibilisation, sera réalisée à travers le théâtre, les causeries éducatives, conférences. Le groupe d’éveil de conscience ou le comité d’éveil de conscience devra également promouvoir, encourager et plébisciter les innovations capables de s’attaquer aux problèmes auxquels font face les différentes localités et cités du Mai-Ndombe.



Quant à l’’option praxique’’, qui est pendante et jumelle à la première, elle est destinée à accréditer la pensée de Confucius qui dit que ‘’ seule la créativité dans l’art et l’ardeur dans le travail élève l’homme’’. En d’autres termes cette option, qui sera menée par le comité d’action concrète ‘’C.A.C.’’ , a pour mission de convaincre les populations de l’importance du travail méthodique par des actes concrets. C’est une option devant être développée par les entrepreneurs dits sociaux pour stimuler l’esprit de créativité.



Outre ces options, l’abbé Bienvenu Bolinga prône aussi la promotion de l’initiative privée et la recherche scientifique soutenue et encouragée par l’Etat. Pour ce qui est de la promotion de l’initiative privée, il propose qu’à ce niveau, le comité de l’action concrète s’intéresse aux innovateurs et entrepreneurs sociaux et encourage les idées-forces qui permettent d’améliorer le vécu quotidien des populations rurales. Le ‘’C.A.C.’’ travaillera à approcher les innovateurs, s’efforcer de bien comprendre leurs idées et de les émonder en les approfondissant.



Concernant la promotion scientifique, le recteur intérimaire de l’UNIMA, qui a souligné l’importance des études universitaires et d’ingénierie, déclarent celles-ci visent l’élévation tout en définissant un profil de la personne capable de réaliser les défis bien circonscrits de la société.



A ce sujet, il suggère, pour terminer, d’inculquer aux chercheurs la rigueur, la vérité, la détermination et la conscience professionnelle de manière qu’ils deviennent de véritables bâtisseurs de la société, tandis que l’école ou l’université doit s’inspirer de Jean-Jacques Rousseau qui dit : ‘’mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine’’.

Tiré de " Le climat tempéré"

mercredi 6 juillet 2011

L'ETHIQUE DANS LE CHANT SAKATA OPITALO N'OKORO ( l'hopital de Bokoro)

             "Oze ata ibèe le nzeme kovgne famille gne: majii mamwii me k'opitalo n'okoro mamee."
               Dans ce chant ,le compositeur raconte l'histoire d'un homme qu'il a vu souffrir à l'hopital général de Bokoro dans la RDC; abandonné par les siens, car opulent qu'il était , il a oublié toute sa famille au profis de ses affaires. Après sa guérison, le monsieur conscient d'un proverbe sakata qui dit :"ntwa bee ya ntwa nzeme, ukime ntwa bee"( c'est-à-dire un riche et un rélationel,le relationnel est plus grand. Ceci dans la mesure où il est bénéficiaire de l'assistance de ses parténaires dans les moments difficles de sa vie.
            Ce chant nous dit: si tu te maries n'oublies pas ta famille à cause de ta richesse,car la souffrance que j'ai vécue à l'hopital de Bokoro m'a rendu sâge. Cette chanson de l'orchestre "MUYENE"des basakatas souligne combien l'être humain occupe une plaçe importante dans la morale sakata. Dans cette perspective , nous soulignons comme l'ont dit les abbés Kenfuni Albert et Nshole Donatien" les basakaktas peuple d'alliance". Pour un musakata ou un sakata, la relation ou l'alliance doit avoir une primauté dans la socièté humaine.
             En ce sens,nous voulons dire que pour les basakatas de mai-ndombe quelque soit le problème ou le conflit; il faut sauvergarder l'être-avec qu'est le muntu. Ainsi,nous citons de passage  un chant qui dit:"bwe nà bwe basolola mpe bayokana" selon le musicien connu sous le nom de majii ne kempee. Ceci nous laisse dire que l'aspect homme-homme; autrement dit relation intersubjective est le primat dans la socièté sakata.
            Mais, il est intéressant de souligner aussi que l'autre aspect négatif ou positif , le "chant opitalo n'okoro"montre que le peuple sakata est un peuple trop lié à sa famille; marié ou non marié. La famille domine pour certaines décisions que l'indivdu doit prendre dans sa vie .Quand un musakakta te parle da sa famille ,tu dois savoir qu' y cmpris la famille élargie. En d'autres termes , il est difficile de distinguer dans le langage d'un musakata, la famille élargie de la faimlle restreinte. Eux ne parlent que de "bwe ame ou  (: mon frère) ou kakà âme: (ma soeur).
             En bréfing, nous soulignons que notre interprétation du chant" opitalo n'okoro"( l'hopital de Bokoro)nous amène à tirer comme leçon éthique: notre richesse ou notre opulence ne doit pas nous dérouter à oublier nos familles ou nos relations. La richess ne dépasse pas un être humain.


HERITIER KALONDA ITSEKUNA

mercredi 22 juin 2011

au sujet des léopards espoirs de la RDC

La rencontre sportive qui devrait avoir lieu ce samedi au stade des martyrs entre les léopards espoirs et les lions indoptables espoirs du Cameroun est renvoyée au dimanche 26 juin, par la demande de la fecofa. selon la  redio digitale congo. Les congolais après leur élimination par les marocains le 19 juin passé sont-ils en forme? Nous supposons que ces jeunes vont satisfaire les conglais en les consolant par la qualification aux jeux africains de Maputo. Il faut alors du travail, il n'ya pas de rose sans épines. bonne préparation et courage aux congoalais.

dimanche 19 juin 2011

mes souvenirs

 Voilà comment l'on prie au noviciat.les cnfrères novices pendant l'office du soir au noviciat cicm à bundi , à Kinshasa.Là assis Aimé paerfait Ambassa, Héritier Kalonda, Emmanuel Mandona, Blaise Evagle, et Jean Pascal Ebonda. noviciat  2010-2011






Au lycé de Kimwenza à Kinshasa Héritier Kalonda qui visite le lycé est stupéfait de voir ce grand lycé installé à kimwenza.Ce lycé est compté parmi les meilleurs à Kinshasa

Avec Blaise Akpesenjibe mon ami d'enfance à l'université Saint Augustin de Kinsahsa. en sptembre 2010. quelle joie quand on se rencontre avec un camarade qu'on a vu depuis belle lurette.

samedi 18 juin 2011

j'ai encore l'idée sur notre visite au bas congo en 2009. Nous sommes sur le pont maréchal et derrière nous,la companie de Midema et toute la ville de matadi.de gauche à droite Bernard Popo, Vénance Makilo, Héritier Kalonda, Fréderic Monayi,Faustin Kabosani, Géorges Kalombo et Dieudonné Ntumba.

 Ici au  jardin zoozlogique de Kinshasa existe encore le chéval.me voilà  sur le chéval dont on parlait autrefois.Quels souvenirs encore en mes yeux en voyant ces photos pendant mes excurssions en différentes périodes.


lundi 6 juin 2011

l'autobiographie de Héritier Kalonda

             Héritier Kalonda Iseku (Kaloundame k'Itsekuna)est officiellement né à Bokoro le 2 juillet 1986; dans le territoire de Kutu, distric de Mai-ndombe, province de Bandundu; en République Démocratique du Congo.Il est le fils de Kalonda Atomake Idole (Camille) et maman Mpia Itsekuna Gertrude. Ainé d'une famille de cinq enfants, dont cinq garçons. Ses frères sont selon l'ordre de naissance: Kalonda Fili, Kalonda Ange, Kalonda Riva, et Kalonda Kaniki qui est  leur frère cadet.
Héritier Kalonda a fait ses études primaires à l'EP Kebia/Mongali,située dans le quartier Sanga-sanga dans la cité de Bokoro. Il a fait ses études primares de l'année 1993 à 1999. Il a fait un parcours remarquable pour ceux qui l'ont connu comme élève à l'EP. Kebia
      
       Héritier kalonda commença le cycle d'orientation à l'institut Totombwana en 1999 jusqu'en 2001. En 2001 il entamma les humanités littéraires au collège institut de Bokoro où il finit en 2005.
   
      En 2007, Héritier commença au mois de janvier l'aspirat interne chez les pères de scheut. En octobre de cette même année ,il commença ses études philosophiques en Université Saint Augustin de Kinshasa où il finit en 2010 ,et est à ce jour gradué en philosophie avec distiction. Il est à signaler que par affiliation de l'Université Saint  Augustin à l'université pontificale Urbanienne de Rome, Héritier est baschélier en philosophie avec grande distiction.Il est reconnu par ladite Université.


Sur les mains-juin-2011

dimanche 5 juin 2011

Les léopards de la République Démocratique n'ont pas dit leur dernier mot?

   Ce dimanche le 05 juin 2011 les leopards de la RDC après leur victoire de 2 buts à 1 devants les dodos de l'ILE maurice se relance dans la course pour la qualification à la CAN 2012. Nous reppelons cette sera organisée conjointement par GAbon et Guinée Eq. Nous croyons que cette victoire redonne l'espoir aux congolais despérés après s'être absents deux successivement à la  haute compétion africaine. Nous espérons que les congolais von- continuer à faire des efforts pour gagner tous les maths qui leur sonts restés en vue d'une qualification à la CAN 2012. Que le dieu de foot soit avec les congolais cette année. Bravo les léopards.